C'est toujours beaucou d'émotions que d'assister à la fin d'un magazine, mais c'est encore plus d'émotions que d'assister à sa métamorphose. À partir de ce mois de février, Phosphore version papier, c'est fini. Place à Phosphore version numérique ! Un sacré pari pour ce titre historique de Bayard Presse qui, pour l'occasion, adopte une parution hebdomadaire et renouvelle complètement sa formule, afin de coller au plus près des nouvelles habitudes de lecture des jeunes. Étonnant, innovant, exaltant... Ce nouveau Phosphore va-t-il révolutionner la presse ? On l'espère. Réponse avec les prochains numéros, où j'aurai le plaisir de vous retrouver.